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Description.

Retour sur les Journées européennes du patrimoine (21-22 septembre 2024)

À l’occasion des Journées européennes du patrimoine, les 21 et 22 septembre, l’hôtel de la fondation Dosne-Thiers reçut 2 800 visiteurs qui déambulèrent dans les salons et furent accueillis en salle de lecture de la Bibliothèque Thiers, située à l’emplacement de l’ancien cabinet de travail de l’historien et homme d’Etat Adolphe Thiers (1797-1877). Les deux matinées, l’assistance était nombreuse dans la salle Jacques Rueff pour écouter Pierre Brunel, membre de l’Académie des sciences morales et politiques, critique littéraire et grand spécialiste du Romantisme. Ses conférences sur « Pauline Viardot et Frédéric Chopin » furent suivies de concerts donnés par de jeunes chanteuses élèves de la classe de chant lyrique du Conservatoire du 9ème arrondissement Lili et Nadia Boulanger (Justine Chauzy, Noémie Laster, Eugénie Louiseau, Eve Meignan), interprétant avec la pianiste Natallia Yeliseyeva des œuvres de Frédéric Chopin, Gabriel Fauré, Camille Saint-Saëns et Pauline Viardot. La programmation les après-midi de la sixième édition des « Conversations chez M.Thiers », animées par François d’Orcival, Conservateur de l’hôtel Dosne-Thiers, et Michel De Jaeghere (Académie des sciences morales et politiques) fut elle aussi très suivie et accompagnée de réactions enthousiastes des auditeurs à l’issue des débats avec les académicien(ne)s.   Xavier Darcos, Chancelier de l’Institut (Académie française, Académie des sciences morales et politiques) introduisit samedi les Conversations par une communication sur « La culture face au désordre du monde ». Catherine Bréchignac, Secrétaire perpétuel honoraire de l’Académie des sciences lui succéda, en présentant son dernier ouvrage intitulé La force de nos racines. Jacques Verger, directeur du Centre de recherches humanistes-Fondation Thiers (Académie des inscriptions et belles-lettres) conclut cette première journée en intervenant sur « La guerre de Cent Ans : guerre féodale, guerre nationale ? »   Georges-Henri Soutou et Serge Sur (Académie des sciences morales et politiques) introduisirent les débats du dimanche par la question suivante : « Quelle place pour le Droit dans les conflits actuels ? » Alain Duhamel (Académie des sciences morales et politiques) intervint ensuite pour présenter son analyse de « l’étrange rentrée politique ». Les Conversations se terminèrent avec l’exposé de Bernard Stirn, Secrétaire perpétuel de l’Académie des sciences morales et politiques, consacré aux « Libertés dans le monde d’aujourd’hui ».   Une animation complémentaire fut proposée dimanche après-midi, dans la cour de l’hôtel, avec la présentation par Michel Guët, guide du patrimoine du 9ème arrondissement, de l’histoire du quartier de la Nouvelle Athènes. Crédit Antoine Denibeau Crédit Antoine Denibeau Crédit Antoine Denibeau Crédit Antoine Denibeau Crédit Antoine Denibeau Crédit Antoine Denibeau

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À l’occasion des Journées européennes du patrimoine, les 21 et 22 septembre, l’hôtel de la fondation Dosne-Thiers reçut 2 800 visiteurs qui déambulèrent dans les salons et furent accueillis en salle de lecture de la Bibliothèque Thiers, située à l’emplacement de l’ancien cabinet de travail de l’historien et homme d’Etat Adolphe Thiers (1797-1877). Les deux matinées, l’assistance était nombreuse dans la salle Jacques Rueff pour écouter Pierre Brunel, membre de l’Académie des sciences morales et politiques, critique littéraire et grand spécialiste du Romantisme. Ses conférences sur « Pauline Viardot et Frédéric Chopin » furent suivies de concerts donnés par de jeunes chanteuses élèves de la classe de chant lyrique du Conservatoire du 9ème arrondissement Lili et Nadia Boulanger (Justine Chauzy, Noémie Laster, Eugénie Louiseau, Eve Meignan), interprétant avec la pianiste Natallia Yeliseyeva des œuvres de Frédéric Chopin, Gabriel Fauré, Camille Saint-Saëns et Pauline Viardot. La programmation les après-midi de la sixième édition des « Conversations chez M.Thiers », animées par François d’Orcival, Conservateur de l’hôtel Dosne-Thiers, et Michel De Jaeghere (Académie des sciences morales et politiques) fut elle aussi très suivie et accompagnée de réactions enthousiastes des auditeurs à l’issue des débats avec les académicien(ne)s.   Xavier Darcos, Chancelier de l’Institut (Académie française, Académie des sciences morales et politiques) introduisit samedi les Conversations par une communication sur « La culture face au désordre du monde ». Catherine Bréchignac, Secrétaire perpétuel honoraire de l’Académie des sciences lui succéda, en présentant son dernier ouvrage intitulé La force de nos racines. Jacques Verger, directeur du Centre de recherches humanistes-Fondation Thiers (Académie des inscriptions et belles-lettres) conclut cette première journée en intervenant sur « La guerre de Cent Ans : guerre féodale, guerre nationale ? »   Georges-Henri Soutou et Serge Sur (Académie des sciences morales et politiques) introduisirent les débats du dimanche par la question suivante : « Quelle place pour le Droit dans les conflits actuels ? » Alain Duhamel (Académie des sciences morales et politiques) intervint ensuite pour présenter son analyse de « l’étrange rentrée politique ». Les Conversations se terminèrent avec l’exposé de Bernard Stirn, Secrétaire perpétuel de l’Académie des sciences morales et politiques, consacré aux « Libertés dans le monde d’aujourd’hui ».   Une animation complémentaire fut proposée dimanche après-midi, dans la cour de l’hôtel, avec la présentation par Michel Guët, guide du patrimoine du 9ème arrondissement, de l’histoire du quartier de la Nouvelle Athènes. Crédit Antoine Denibeau Crédit Antoine Denibeau Crédit Antoine Denibeau Crédit Antoine Denibeau Crédit Antoine Denibeau Crédit Antoine Denibeau

Une soirée musicale autour des Romances de la Reine Hortense dans les salons de l’Hôtel Dosne-Thiers

Une soirée musicale autour des Romances de la Reine Hortense a eu lieu dans les salons de l’Hôtel Dosne-Thiers le 7 juin dernier. La Fondation Dosne-Thiers a souhaité mettre en valeur les fonds documentaires qu’elle possède au sein de sa bibliothèque et faire découvrir un répertoire musical jusqu’ici méconnu : Les Romances mises en musique par sa Majesté la Reine Hortense, fille de l’impératrice Joséphine, et imprimé en petit nombre afin de l’offrir en cadeau d’amitié et d’estime.  La Fondation a permis aux élèves du conservatoire Nadia et Lili Boulanger du 9ème arrondissement d’interpréter en public ces Romances au cours d’un concert organisé dans un lieu patrimonial à l’acoustique différente des salles du conservatoire.  Le Conservatoire fait partie des établissements culturels majeurs du 9e arrondissement, aux côtés des bibliothèques, des musées, des théâtres et des nombreux lieux de création et de diffusion de ce territoire riche de diversité culturelle. Créé en 1972, il accueille plus de mille élèves encadrés par une centaine de professeurs.  En complément de sa mission d’enseignement, le Conservatoire organise et prend part à de nombreuses manifestations et concerts, tout au long de l’année contribuant ainsi à l’animation culturelle de l’arrondissement.  Cette restitution a été suivie d’une conférence donnée par Peter Hicks, historien de l’époque impériale et musicien, intitulée « La musicoragicomie ou l’ambiance sonore de l’ère révolutionnaire et impériale » qui raconte l’histoire militaire en musique.  En effet, sous la Révolution et l’Empire, le public aime ce qu’on appelle la musique “descriptive” pour clavier, pratiquée depuis le XVIe siècle. Les compositeurs y racontent par le son et les mots les grands événements guerriers qui viennent de se produire. C’est une façon très populaire d’informer les auditeurs tout en les distrayant.   Travaillant sur ce sujet depuis de nombreuses années, Peter Hicks a plongé le public enthousiaste dans l’ambiance des salons de l’époque, sans oublier d’apporter des explications pour mieux connaître leurs compositeurs, le contexte politique et social, la place de ces “pièces militaires historiques”, souvent drôles, dans le développement de la musique descriptive, en interprétant des œuvres de Kreutzer, L’ouverture à l’opéra « Lodoiska », « La marche des tartares » (piano seul), et « Mon habit » (voix et piano) ; Paisiello, « Felice pastorella » (voix et piano) ; La reine Hortense, « Partant pour la Syrie » (voix et piano) ; Dussek, Variations favorites sur « Partant pour la Syrie » (piano seul). Il a terminé sa conférence en jouant « La bataille d’Austerlitz » de Beauvarlet-Charpentier (piano seul).  

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Une soirée musicale autour des Romances de la Reine Hortense a eu lieu dans les salons de l’Hôtel Dosne-Thiers le 7 juin dernier. La Fondation Dosne-Thiers a souhaité mettre en valeur les fonds documentaires qu’elle possède au sein de sa bibliothèque et faire découvrir un répertoire musical jusqu’ici méconnu : Les Romances mises en musique par sa Majesté la Reine Hortense, fille de l’impératrice Joséphine, et imprimé en petit nombre afin de l’offrir en cadeau d’amitié et d’estime.  La Fondation a permis aux élèves du conservatoire Nadia et Lili Boulanger du 9ème arrondissement d’interpréter en public ces Romances au cours d’un concert organisé dans un lieu patrimonial à l’acoustique différente des salles du conservatoire.  Le Conservatoire fait partie des établissements culturels majeurs du 9e arrondissement, aux côtés des bibliothèques, des musées, des théâtres et des nombreux lieux de création et de diffusion de ce territoire riche de diversité culturelle. Créé en 1972, il accueille plus de mille élèves encadrés par une centaine de professeurs.  En complément de sa mission d’enseignement, le Conservatoire organise et prend part à de nombreuses manifestations et concerts, tout au long de l’année contribuant ainsi à l’animation culturelle de l’arrondissement.  Cette restitution a été suivie d’une conférence donnée par Peter Hicks, historien de l’époque impériale et musicien, intitulée « La musicoragicomie ou l’ambiance sonore de l’ère révolutionnaire et impériale » qui raconte l’histoire militaire en musique.  En effet, sous la Révolution et l’Empire, le public aime ce qu’on appelle la musique “descriptive” pour clavier, pratiquée depuis le XVIe siècle. Les compositeurs y racontent par le son et les mots les grands événements guerriers qui viennent de se produire. C’est une façon très populaire d’informer les auditeurs tout en les distrayant.   Travaillant sur ce sujet depuis de nombreuses années, Peter Hicks a plongé le public enthousiaste dans l’ambiance des salons de l’époque, sans oublier d’apporter des explications pour mieux connaître leurs compositeurs, le contexte politique et social, la place de ces “pièces militaires historiques”, souvent drôles, dans le développement de la musique descriptive, en interprétant des œuvres de Kreutzer, L’ouverture à l’opéra « Lodoiska », « La marche des tartares » (piano seul), et « Mon habit » (voix et piano) ; Paisiello, « Felice pastorella » (voix et piano) ; La reine Hortense, « Partant pour la Syrie » (voix et piano) ; Dussek, Variations favorites sur « Partant pour la Syrie » (piano seul). Il a terminé sa conférence en jouant « La bataille d’Austerlitz » de Beauvarlet-Charpentier (piano seul).  

Conférence de la Fondation Thiers – Centre de recherches humanistes

À l’occasion de la fin de l’année universitaire, une conférence a été organisée par le Centre de recherches humanistes. Mme Nicole Bériou, membre de l’Académie des inscriptions et belles-lettres, a pris comme sujet « De Paris à Cambrai. Pour une histoire revisitée de Robert de Sorbon » en présence des boursiers de la promotion 2023-2024, des membres de la Commission de la Fondation Thiers, et de nombreux invités.  À la suite de la conférence, un cocktail a été offert par monsieur Jacques Verger, directeur de la Fondation Thiers – Centre de recherches humanistes.  À cette occasion, les boursiers ont pu rencontrer madame Sandrine Folpini, administratrice générale de la Fondation Dosne-Thiers, et monsieur Alexandre Leducq, conservateur de la Bibliothèque Thiers. 

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À l’occasion de la fin de l’année universitaire, une conférence a été organisée par le Centre de recherches humanistes. Mme Nicole Bériou, membre de l’Académie des inscriptions et belles-lettres, a pris comme sujet « De Paris à Cambrai. Pour une histoire revisitée de Robert de Sorbon » en présence des boursiers de la promotion 2023-2024, des membres de la Commission de la Fondation Thiers, et de nombreux invités.  À la suite de la conférence, un cocktail a été offert par monsieur Jacques Verger, directeur de la Fondation Thiers – Centre de recherches humanistes.  À cette occasion, les boursiers ont pu rencontrer madame Sandrine Folpini, administratrice générale de la Fondation Dosne-Thiers, et monsieur Alexandre Leducq, conservateur de la Bibliothèque Thiers. 

La vie des collections : restauration d’une statue napoléonienne en bois.

La bibliothèque Thiers est fondée suite au legs de Félicie Dosne en 1905 autour des papiers personnels d’Adolphe Thiers et de la collection d’imprimés anciens de la donatrice. Elle s’enrichit cependant de manière très conséquente en 1926 grâce au legs de Frédéric Masson, membre de l’Académie française qui a présidé à la bonne marche de l’Hôtel Dosne-Thiers à partir de 1914, date à laquelle il est chargé par l’Institut d’administrer l’hôpital auxiliaire installé au 27 place Saint-Georges. Outre ses propres brouillons et archives ainsi que des sources de première main, Frédéric Masson lègue à la bibliothèque Thiers environ 2 000 objets ayant trait à la période napoléonienne. Parmi ceux-ci prennent place une centaine de statues représentant pour la majorité d’entre-elles l’Empereur lui-même. Malgré le soin pris à conserver ces objets, soit leur état initial critique soit des détériorations dues au temps (empoussièrement naturel) ou à des accidents rendent nécessaires des actions de restauration. En 2024, la bibliothèque Thiers a consacré une part importante de son budget dédié aux opérations de restauration à la réfection de statues dont une en bois confiée à l’atelier Kopal. Cette statue représente Napoléon de manière classique, en uniforme, une main glissée dans son gilet, l’autre tenant une longue vue. L’atelier de restauration a effectué tout d’abord un important travail de nettoyage sur cet objet.   Il a également fallu refixer des éléments qui se dissociaient de l’œuvre à savoir :   Le socle n’assurant plus la stabilité de la statue, qui avait tendance à basculer vers l’arrière, une pièce de comblement a été fixée sur une semelle de l’Empereur pour reporter le poids de la sculpture sur l’avant. L’œuvre tient désormais debout, facilitant ainsi grandement sa conservation. Enfin des retouches et des comblements ont été réalisés pour donner un aspect plus cohérent à l’œuvre qui retrouve toute sa fraîcheur :       Fiche technique de l’œuvre : Titre [forgé] : Statue de Napoléon en pied, en uniforme, manteau et chapeau, la main gauche dans son gilet. Cote : M 1505 Matière : Bois Dimension : 98 cm   Photographies : Atelier Kopal Textes sur les interventions en partie tirés du rapport de restauration rédigé par l’atelier Kopal.

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La bibliothèque Thiers est fondée suite au legs de Félicie Dosne en 1905 autour des papiers personnels d’Adolphe Thiers et de la collection d’imprimés anciens de la donatrice. Elle s’enrichit cependant de manière très conséquente en 1926 grâce au legs de Frédéric Masson, membre de l’Académie française qui a présidé à la bonne marche de l’Hôtel Dosne-Thiers à partir de 1914, date à laquelle il est chargé par l’Institut d’administrer l’hôpital auxiliaire installé au 27 place Saint-Georges. Outre ses propres brouillons et archives ainsi que des sources de première main, Frédéric Masson lègue à la bibliothèque Thiers environ 2 000 objets ayant trait à la période napoléonienne. Parmi ceux-ci prennent place une centaine de statues représentant pour la majorité d’entre-elles l’Empereur lui-même. Malgré le soin pris à conserver ces objets, soit leur état initial critique soit des détériorations dues au temps (empoussièrement naturel) ou à des accidents rendent nécessaires des actions de restauration. En 2024, la bibliothèque Thiers a consacré une part importante de son budget dédié aux opérations de restauration à la réfection de statues dont une en bois confiée à l’atelier Kopal. Cette statue représente Napoléon de manière classique, en uniforme, une main glissée dans son gilet, l’autre tenant une longue vue. L’atelier de restauration a effectué tout d’abord un important travail de nettoyage sur cet objet.   Il a également fallu refixer des éléments qui se dissociaient de l’œuvre à savoir :   Le socle n’assurant plus la stabilité de la statue, qui avait tendance à basculer vers l’arrière, une pièce de comblement a été fixée sur une semelle de l’Empereur pour reporter le poids de la sculpture sur l’avant. L’œuvre tient désormais debout, facilitant ainsi grandement sa conservation. Enfin des retouches et des comblements ont été réalisés pour donner un aspect plus cohérent à l’œuvre qui retrouve toute sa fraîcheur :       Fiche technique de l’œuvre : Titre [forgé] : Statue de Napoléon en pied, en uniforme, manteau et chapeau, la main gauche dans son gilet. Cote : M 1505 Matière : Bois Dimension : 98 cm   Photographies : Atelier Kopal Textes sur les interventions en partie tirés du rapport de restauration rédigé par l’atelier Kopal.

Journée d’étude du 10 avril 2024

Mercredi 10 avril 2024, de 9h30 à 17h., a eu lieu en l’Hôtel Dosne–Thiers la journée d’étude de la Fondation Thiers–Centre de recherches humanistes animée par son directeur, monsieur Jacques Verger, de l’Académie des inscriptions et belles-lettres. Ont assisté à cette journée d’étude l’administratrice de la Fondation Thiers, madame. S. Folpini, et le directeur de la Bibliothèque Thiers, monsieur A. Leducq. En présence de madame N. Bériou et de messieurs J.-R. Armogathe, H.-P. Francfort, Ph. Hoffmann et J. Scheid, de l’Académie des inscriptions et belles-lettres, ainsi que de madame M. Bastid-Bruguière et de messieurs L. Bély, Fr. d’Orcival et G.-H. Soutou, de l’Académie des sciences morales et politiques, de monsieur P. Ory de l’Académie française, et de monsieur Y. Quéré, de l’Académie des sciences, à qui s’étaient joints les directeurs de thèse de quelques boursiers, madame Fl. Magnot-Ogilvy (Renens 2) et messieurs L. Feller (Paris I Panthéon Sorbonne) et M. Rashed(Sorbonne Université), chaque boursier a présenté un aspect de son travail de recherche, présentation suivie d’une discussion avec l’assistance.   Les sujets traités étaient les suivants : – « Faits divers, rumeurs et anecdotes : le roman périodique à l’écoute du public. Essai d’analyse sociopoétique de l’œuvre du chevalier de Mouhy » (Marion Bally) – « Les rapports entre la communauté d’habitants et le seigneur de Ganges »(Lucas Fassio) – « Multiplier les formalités : une question in aula de François de Meyronnes en contexte » (Thomas Gay) – « La cristallisation progressive d’un corpus médiéval idéal : l’exemple de l’abbaye cistercienne de Chiaravalle milanese (xiie–xxe s.) » (Louise Gentil) – « Les échanges commerciaux entre l’Attique et la mer Noire aux époques classique et hellénistique. Remarques sur les conditions d’un phénomène économique ». » (Milan Melocco) – « La théorie platonicienne de la vision à la lumière d’une critique d’Empédocle » (Emma Ponce) – « “Plourer, complaindre et lamenter” : le syntagme générique déploration funèbre, une complexe et singulière lexicalisation ? » (Benjamin Reynes)  

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Mercredi 10 avril 2024, de 9h30 à 17h., a eu lieu en l’Hôtel Dosne–Thiers la journée d’étude de la Fondation Thiers–Centre de recherches humanistes animée par son directeur, monsieur Jacques Verger, de l’Académie des inscriptions et belles-lettres. Ont assisté à cette journée d’étude l’administratrice de la Fondation Thiers, madame. S. Folpini, et le directeur de la Bibliothèque Thiers, monsieur A. Leducq. En présence de madame N. Bériou et de messieurs J.-R. Armogathe, H.-P. Francfort, Ph. Hoffmann et J. Scheid, de l’Académie des inscriptions et belles-lettres, ainsi que de madame M. Bastid-Bruguière et de messieurs L. Bély, Fr. d’Orcival et G.-H. Soutou, de l’Académie des sciences morales et politiques, de monsieur P. Ory de l’Académie française, et de monsieur Y. Quéré, de l’Académie des sciences, à qui s’étaient joints les directeurs de thèse de quelques boursiers, madame Fl. Magnot-Ogilvy (Renens 2) et messieurs L. Feller (Paris I Panthéon Sorbonne) et M. Rashed(Sorbonne Université), chaque boursier a présenté un aspect de son travail de recherche, présentation suivie d’une discussion avec l’assistance.   Les sujets traités étaient les suivants : – « Faits divers, rumeurs et anecdotes : le roman périodique à l’écoute du public. Essai d’analyse sociopoétique de l’œuvre du chevalier de Mouhy » (Marion Bally) – « Les rapports entre la communauté d’habitants et le seigneur de Ganges »(Lucas Fassio) – « Multiplier les formalités : une question in aula de François de Meyronnes en contexte » (Thomas Gay) – « La cristallisation progressive d’un corpus médiéval idéal : l’exemple de l’abbaye cistercienne de Chiaravalle milanese (xiie–xxe s.) » (Louise Gentil) – « Les échanges commerciaux entre l’Attique et la mer Noire aux époques classique et hellénistique. Remarques sur les conditions d’un phénomène économique ». » (Milan Melocco) – « La théorie platonicienne de la vision à la lumière d’une critique d’Empédocle » (Emma Ponce) – « “Plourer, complaindre et lamenter” : le syntagme générique déploration funèbre, une complexe et singulière lexicalisation ? » (Benjamin Reynes)  

Cocktail de rentrée des boursiers – Auditions des candidats aux bourses

M. Jacques Verger, membre de l’Académie des inscriptions et belles-lettres, directeur de la Fondation Thiers – Centre de recherches humanistes, a accueilli le 18 octobre 2023 dans les salons de l’Hôtel Dosne-Thiers, à l’occasion du cocktail de rentrée de la Fondation, les sept nouveaux boursiers de la promotion 2023-2024. Ces jeunes chercheurs, qui travaillent sur des sujets très variés, profitent de leur bourse pour avancer et, si possible, achever leur thèse de doctorat. Ce sont de gauche à droite sur la photo ci-dessous, autour de M. Jacques Verger, de l’Académie des inscriptions et belles-lettres, membre de la Commission de la Fondation Thiers, Milan Melocco (D’Athènes aux Détroits : Histoire d’une route. Étude de la présence territoriale et de l’emprise économique athéniennes en Eubée, à Skyros, Lemnos, Imbros, en Chersonèse de Thrace et à Sigée (fin VIIe-Ier s. avant notre ère), Louise Gentil (Ecrire la Terre. Ecrits de gestion et administration des patrimoines monastiques par les cisterciens dans le Milanais entre XIIe et XIVe siècles), Marion Bally (Le chevalier de Mouhy ou le roman comme survie : sociopoétique d’un “regrattier” du XVIIIe siècle), Thomas Gay (La théologie comme science et ses premiers principes dans la première moitié du XIVe siècle), Lucas Fassio (Une communauté languedocienne face aux crises du XIVe siècle (1320-1400), Ganges d’après ses registres notariés), Benjamin Reynes (La déploration funèbre chez les Rhétoriqueurs de la ‘’seconde génération’’ (1461-1527)), Emma Ponce (Sauver le sensible : Platon critique d’Empédocle). François d’Orcival, de l’Académie des sciences morales et politiques, conservateur de l’Hôtel Dosne-Thiers, Michel Zink, membre de l’Académie française et secrétaire perpétuel honoraire de l’Académie des inscriptions et belles-lettres, Nicole Bériou, Henri-Paul Francfort, Jean-Marie Moeglin, John Scheid et Monique Trédé, de l’Académie des inscriptions et belles-lettres, et Marianne Bastid-Bruguière ainsi que Lucien Bély, de l’académie des sciences morales et politiques ont honoré cette réception de leur présence. M. Alexandre Leducq, conservateur de la Bibliothèque Thiers, a présenté celle-ci aux boursiers et leur a fait visiter la salle de travail. Du 5 au 19 décembre ont eu lieu les auditions des candidats aux bourses de la Fondation Thiers suivies de la délibération de la commission du Centre de recherches humanistes -Fondation Thiers présidée par M. Jacques Verger. Sept candidats pour la promotion 2024-2025 ont été retenus.

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M. Jacques Verger, membre de l’Académie des inscriptions et belles-lettres, directeur de la Fondation Thiers – Centre de recherches humanistes, a accueilli le 18 octobre 2023 dans les salons de l’Hôtel Dosne-Thiers, à l’occasion du cocktail de rentrée de la Fondation, les sept nouveaux boursiers de la promotion 2023-2024. Ces jeunes chercheurs, qui travaillent sur des sujets très variés, profitent de leur bourse pour avancer et, si possible, achever leur thèse de doctorat. Ce sont de gauche à droite sur la photo ci-dessous, autour de M. Jacques Verger, de l’Académie des inscriptions et belles-lettres, membre de la Commission de la Fondation Thiers, Milan Melocco (D’Athènes aux Détroits : Histoire d’une route. Étude de la présence territoriale et de l’emprise économique athéniennes en Eubée, à Skyros, Lemnos, Imbros, en Chersonèse de Thrace et à Sigée (fin VIIe-Ier s. avant notre ère), Louise Gentil (Ecrire la Terre. Ecrits de gestion et administration des patrimoines monastiques par les cisterciens dans le Milanais entre XIIe et XIVe siècles), Marion Bally (Le chevalier de Mouhy ou le roman comme survie : sociopoétique d’un “regrattier” du XVIIIe siècle), Thomas Gay (La théologie comme science et ses premiers principes dans la première moitié du XIVe siècle), Lucas Fassio (Une communauté languedocienne face aux crises du XIVe siècle (1320-1400), Ganges d’après ses registres notariés), Benjamin Reynes (La déploration funèbre chez les Rhétoriqueurs de la ‘’seconde génération’’ (1461-1527)), Emma Ponce (Sauver le sensible : Platon critique d’Empédocle). François d’Orcival, de l’Académie des sciences morales et politiques, conservateur de l’Hôtel Dosne-Thiers, Michel Zink, membre de l’Académie française et secrétaire perpétuel honoraire de l’Académie des inscriptions et belles-lettres, Nicole Bériou, Henri-Paul Francfort, Jean-Marie Moeglin, John Scheid et Monique Trédé, de l’Académie des inscriptions et belles-lettres, et Marianne Bastid-Bruguière ainsi que Lucien Bély, de l’académie des sciences morales et politiques ont honoré cette réception de leur présence. M. Alexandre Leducq, conservateur de la Bibliothèque Thiers, a présenté celle-ci aux boursiers et leur a fait visiter la salle de travail. Du 5 au 19 décembre ont eu lieu les auditions des candidats aux bourses de la Fondation Thiers suivies de la délibération de la commission du Centre de recherches humanistes -Fondation Thiers présidée par M. Jacques Verger. Sept candidats pour la promotion 2024-2025 ont été retenus.

Nos collections s’exposent !

Depuis le mardi 22 novembre, le musée national des châteaux de Malmaison et Bois-Préau propose à son public de découvrir la belle exposition : « Un Panoramique Napoléonien, les campagnes des Français en Italie ».  Autour d’un impressionnant papier peint paysager conçu en 1829 par Dufour et Leroy qui représente les campagnes françaises victorieuses en Italie, nos collègues vous invitent à redécouvrir les différents épisodes des batailles s’étant déroulées en Italie à l’orée du XIXème siècle.   L’exposition se nourrit de nombreuses œuvres dont trois proviennent de la collection de la bibliothèque Thiers :   Hyppolyte Lecomte,   Joséphine au lac de Garde, 1805, huile sur toile, 22,7 x 31,5 cm. Paris, Fondation Dosne – bibliothèque Thiers, MP 032.      Le tableau d’Hippolyte Lecomte, « Joséphine au lac de Garde » narre l’épisode durant lequel, Joséphine, fraîchement mariée au général Bonaparte, rejoint celui-ci sur le théâtre des opérations, oublieuse parfois des précautions nécessaires au point de se trouver prise sous la canonnade de chaloupes autrichiennes au Lac de Garde.      Fyain,   Bataille du pont de Lodi, ca 1798, eau-forte, 42 x 55 cm. Paris, Fondation Dosne – bibliothèque Thiers, est. Frédéric Masson, 21 / 8059.      Fyain,  Passage du pont d’Arcole, 1798, eau-forte, 40 x 53 cm. Paris, Fondation Dosne – bibliothèque Thiers, est. Frédéric Masson, 21 / 8016.    L’importante collection d’estampes léguées par Frédéric Masson en 1926 à la bibliothèque Thiers est riche de scènes représentant les campagnes italiennes de Bonaparte. Parmi ces nombreuses gravures, on compte ces deux eaux-fortes toutes les deux réalisées par Fyain qui, en mettant le général Bonaparte au centre des victoires d’Arcole et de Lodi, participent à la propagande naissante du jeune général.   Pour voir ces trois belles œuvres et bien d’autres merveilles c’est au musée national des châteaux de Malmaison et Bois-Préau jusqu’au 26 février 2024.

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Depuis le mardi 22 novembre, le musée national des châteaux de Malmaison et Bois-Préau propose à son public de découvrir la belle exposition : « Un Panoramique Napoléonien, les campagnes des Français en Italie ».  Autour d’un impressionnant papier peint paysager conçu en 1829 par Dufour et Leroy qui représente les campagnes françaises victorieuses en Italie, nos collègues vous invitent à redécouvrir les différents épisodes des batailles s’étant déroulées en Italie à l’orée du XIXème siècle.   L’exposition se nourrit de nombreuses œuvres dont trois proviennent de la collection de la bibliothèque Thiers :   Hyppolyte Lecomte,   Joséphine au lac de Garde, 1805, huile sur toile, 22,7 x 31,5 cm. Paris, Fondation Dosne – bibliothèque Thiers, MP 032.      Le tableau d’Hippolyte Lecomte, « Joséphine au lac de Garde » narre l’épisode durant lequel, Joséphine, fraîchement mariée au général Bonaparte, rejoint celui-ci sur le théâtre des opérations, oublieuse parfois des précautions nécessaires au point de se trouver prise sous la canonnade de chaloupes autrichiennes au Lac de Garde.      Fyain,   Bataille du pont de Lodi, ca 1798, eau-forte, 42 x 55 cm. Paris, Fondation Dosne – bibliothèque Thiers, est. Frédéric Masson, 21 / 8059.      Fyain,  Passage du pont d’Arcole, 1798, eau-forte, 40 x 53 cm. Paris, Fondation Dosne – bibliothèque Thiers, est. Frédéric Masson, 21 / 8016.    L’importante collection d’estampes léguées par Frédéric Masson en 1926 à la bibliothèque Thiers est riche de scènes représentant les campagnes italiennes de Bonaparte. Parmi ces nombreuses gravures, on compte ces deux eaux-fortes toutes les deux réalisées par Fyain qui, en mettant le général Bonaparte au centre des victoires d’Arcole et de Lodi, participent à la propagande naissante du jeune général.   Pour voir ces trois belles œuvres et bien d’autres merveilles c’est au musée national des châteaux de Malmaison et Bois-Préau jusqu’au 26 février 2024.

Retour en images sur les Journées européennes du patrimoine

À l’occasion des Journées européennes du patrimoine, les 16 et 17 septembre, l’hôtel de la fondation Dosne-Thiers a reçu plus de 1 900 visiteurs qui ont pu visiter les salons et être accueillis dans la salle de lecture de la Bibliothèque, située à l’emplacement de l’ancien cabinet de travail de l’historien et homme d’Etat, Adolphe Thiers (1797-1877). Le public a également pu échanger avec les académicien(ne)s, au cours des « Conversations chez M.Thiers », animées par François d’Orcival, Conservateur de l’hôtel Dosne-Thiers, et le Professeur Georges-Henri Soutou, tous deux membres de l’Académie des sciences morales et politiques.

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À l’occasion des Journées européennes du patrimoine, les 16 et 17 septembre, l’hôtel de la fondation Dosne-Thiers a reçu plus de 1 900 visiteurs qui ont pu visiter les salons et être accueillis dans la salle de lecture de la Bibliothèque, située à l’emplacement de l’ancien cabinet de travail de l’historien et homme d’Etat, Adolphe Thiers (1797-1877). Le public a également pu échanger avec les académicien(ne)s, au cours des « Conversations chez M.Thiers », animées par François d’Orcival, Conservateur de l’hôtel Dosne-Thiers, et le Professeur Georges-Henri Soutou, tous deux membres de l’Académie des sciences morales et politiques.

Programmation des Journées européennes du patrimoine (16-17 septembre 2023)

VISITE LIBRE DE L’HÔTEL DOSNE-THIERS ET DE LA BIBLIOTHÈQUE THIERS (10h-18h). Conversations chez M.Thiers Thème retenu : « Les académiciens historiens » Modérateurs : François d’Orcival (Académie des sciences morales et politiques) et Georges-Henri Soutou (Académie des sciences morales et politiques) Conservateur de l’hôtel Dosne-Thiers, Monsieur François d’Orcival met en œuvre depuis 2016 des échanges entre les académicien(ne)s et le public, à l’occasion des deux Journées européennes du patrimoine, avec la participation du Professeur Georges-Henri Soutou. Ces Conversations chez M.Thiers, malheureusement interrompues durant la crise sanitaire (2020-2022), abordent des thèmes variés d’histoire et d’actualité, avec le soutien enthousiaste de nombreux membres de l’Institut La programmation de cette année est articulée autour des académicien(ne)s historien(ne)s. PROGRAMME Samedi 16 septembre 14h, Xavier Darcos, (de l’Académie française), Chancelier de l’Institut de France, accueil et présentation des deux journées et Conversations chez M.Thiers, « L’état de la langue à l’école depuis 50 ans » 15h, Eric Roussel (Académie des sciences morales et politiques), « Le record de durée de la Vᵉ République »  16h, Jean-Robert Pitte (Académie des sciences morales et politiques), « Le rôle des frontières en Europe » 17h, Jean Tulard (Académie des sciences morales et politiques), « L’idée de référendum depuis Napoléon jusqu’à nos jours ». Dimanche 17 septembre  14h, Marianne Bastid Bruguière (Académie des sciences morales et politiques), « La Chine à l’heure du conflit ukrainien » 15h, Alain Duhamel (Académie des sciences morales et politiques), « Emmanuel Macron, du premier au second mandat » 16h, Jacques Verger, directeur de la Fondation Thiers (Académie des inscriptions et belles-lettres), « Paris capitale culturelle au XIIIe siècle » 17h, Georges-Henri Soutou (Académie des sciences morales et politiques), « Europa ! d’une Europe à l’autre ».

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VISITE LIBRE DE L’HÔTEL DOSNE-THIERS ET DE LA BIBLIOTHÈQUE THIERS (10h-18h). Conversations chez M.Thiers Thème retenu : « Les académiciens historiens » Modérateurs : François d’Orcival (Académie des sciences morales et politiques) et Georges-Henri Soutou (Académie des sciences morales et politiques) Conservateur de l’hôtel Dosne-Thiers, Monsieur François d’Orcival met en œuvre depuis 2016 des échanges entre les académicien(ne)s et le public, à l’occasion des deux Journées européennes du patrimoine, avec la participation du Professeur Georges-Henri Soutou. Ces Conversations chez M.Thiers, malheureusement interrompues durant la crise sanitaire (2020-2022), abordent des thèmes variés d’histoire et d’actualité, avec le soutien enthousiaste de nombreux membres de l’Institut La programmation de cette année est articulée autour des académicien(ne)s historien(ne)s. PROGRAMME Samedi 16 septembre 14h, Xavier Darcos, (de l’Académie française), Chancelier de l’Institut de France, accueil et présentation des deux journées et Conversations chez M.Thiers, « L’état de la langue à l’école depuis 50 ans » 15h, Eric Roussel (Académie des sciences morales et politiques), « Le record de durée de la Vᵉ République »  16h, Jean-Robert Pitte (Académie des sciences morales et politiques), « Le rôle des frontières en Europe » 17h, Jean Tulard (Académie des sciences morales et politiques), « L’idée de référendum depuis Napoléon jusqu’à nos jours ». Dimanche 17 septembre  14h, Marianne Bastid Bruguière (Académie des sciences morales et politiques), « La Chine à l’heure du conflit ukrainien » 15h, Alain Duhamel (Académie des sciences morales et politiques), « Emmanuel Macron, du premier au second mandat » 16h, Jacques Verger, directeur de la Fondation Thiers (Académie des inscriptions et belles-lettres), « Paris capitale culturelle au XIIIe siècle » 17h, Georges-Henri Soutou (Académie des sciences morales et politiques), « Europa ! d’une Europe à l’autre ».

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